Quand on pense start-up, on pense automatiquement aux mots business, réussite, technologie. Mais certaines start-up ne cherchent pas à faire des millions… sinon des millions d’heureux. C’est le cas de Solinum et de sa fondatrice : Victoria Mandefield.

L’entreprise Ekwateur vient d’être sélectionnée parmi les lauréats de la promotion 2025 de l’Impact 40/120, qui réunit les entreprises œuvrant pour un avenir meilleur en France en prenant en compte leur capacité à générer le plus de « coûts » évités pour la société. Une belle reconnaissance pour ce pionnier de l’énergie verte.

Voici un entrepreneur qui a vite compris qu’il fallait donner du sens à ses investissements pour se sentir heureux. Après des affaires fructueuses dans le domaine du marketing et de la téléphonie, il décide de mettre son talent au service du monde en créant notamment un fonds d’investissement «vert ».

Andréa Bensaïd est le fondateur notamment d’Eskimoz, une start-up qui se démarque des autres car elle n’a jamais levé de fonds ! Cela n’empêche pas son créateur de vouloir en faire une licorne, la première en auto-financement ! Un pari que cet entrepreneur acharné semble capable de relever.

Via Sana est l’exemple type de ces entreprises qui réussissent à appliquer les apprentissages du modèle start-up aux autres domaines de la vie courante. Sans pour autant rentrer dans le jeu de la « start-up nation », il est effectivement important de comprendre ce que les start-up peuvent apporter au monde, et vice versa.

Dans l’industrie, la plupart des dirigeants sont désormais convaincus que l’IA joue et jouera encore plus à l’avenir un rôle déterminant dans l’optimisation des systèmes, que ce soit au niveau de la production, de la logistique ou encore de la communication. Pour autant, après un emballement significatif en 2023, de nombreuses études montrent que l’intégration de l’intelligence artificielle dans les processus des industries est à la peine. Quelles sont les raisons de ce constat ? Le problème de la formation des équipes est récurrent, mais une étude menée par Precisely en partenariat avec l’Université Drexel présente un autre obstacle de taille : la confiance dans les données.

Alors que l’industrie du luxe est en difficulté ces dernières années, Hermès s’obstine à éviter les rabais et la revente pour conserver son aura de toujours. La marque est en effet toujours considérée comme un gage de qualité et d’exclusivité qui intéressent les consommateurs les plus riches. Pourtant, Hermès n’a pas toujours été une marque de sacs et de vêtements de luxe. Autrefois, elle s’occupait des chevaux. Retour sur son histoire.