Les autorités sont de plus en plus préoccupées par le danger potentiel que représente la technologie de l’intelligence artificielle. Cette inquiétude est partagée par la police de Hong Kong, à la suite d’un incident au cours duquel un employé financier d’une multinationale a été amené à transférer 25 millions de dollars à des fraudeurs. Les criminels ont utilisé la technologie deepfake pour se faire passer pour le directeur financier de l’entreprise lors d’une vidéoconférence.

L’employé, qui avait initialement reçu un courriel censé provenir du directeur financier de l’entreprise basé au Royaume-Uni, s’est d’abord montré sceptique quant à la demande, pensant qu’il s’agissait d’une tentative d’hameçonnage. Cependant, ses doutes ont été dissipés lorsqu’une réunion a été organisée avec le prétendu directeur financier et d’autres collègues. La réunion semblait si authentique qu’il n’a jamais soupçonné qu’il était manipulé par une IA, contrôlée par une entité malveillante dans les coulisses. Croyant que tous les autres participants à l’appel étaient authentiques, le travailleur a accepté de transférer un total de 200 millions de dollars de Hong Kong, soit environ 25,6 millions de dollars, selon l’officier de police.

Cet incident souligne le besoin urgent de sensibilisation et de prudence concernant l’utilisation abusive potentielle de l’IA. Cependant, il est important de se rappeler que l’IA, lorsqu’elle est utilisée correctement, peut être un puissant outil de progrès.

En conclusion, alors que nous continuons à intégrer l’IA dans notre vie quotidienne, il est essentiel que nous restions vigilants et informés des risques potentiels. Nous devons nous efforcer de mettre en place des mesures de sécurité solides et des lignes directrices éthiques afin de prévenir de tels incidents à l’avenir. Si l’IA recèle un immense potentiel de changement positif, il est de notre responsabilité de veiller à ce que cette technologie soit utilisée pour le bénéfice de tous, et non au détriment d’une poignée de personnes qui ne se doutent de rien.

En assemblant plusieurs matériaux en différentes couches tels que le diamant monocristallin et le Nickel 63 radioactif dont la désintégration produit une énergie convertible en courant électrique. Si bien que les batteries qui renferment ce système peuvent produire de l’électricité de façon stable et autonome pendant 50 ans.

Ces batteries nucléaires sont modulaires et peuvent être composées de dizaines ou de centaines de modules indépendants. Elles peuvent être utilisées en série et en parallèle, ce qui permet de fabriquer des batteries de tailles et de capacités différentes.

Bien que le coût d’investissement dans cette technologie n’est pas explicitement mentionné. Cependant, il est important de noter que le marché mondial des cellules bêta voltaïques, dont BETAVOLT fait partie, était estimé à 349,14 millions de dollars en 2020 et devrait croître à un taux de croissance annuel composé de 2,18% jusqu’en 2026 avec BETAVOLT comme chef de fil.