Alexandre Dreyfus, un self-made man à la française
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Plus tourné vers le business que l’école
Alexandre Deryfus est né en 1977 et on ne sait pas grand-chose de son enfance. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’excelle pas à l’école. Il termine sa scolarité sans diplôme et décide de se lancer dans l’informatique qui est en plein boom. Avec un associé, il fonde une première entreprise, l’agence Mediartis qui aide les particuliers et les professionnels à créer leur site Internet. La société attire l’œil des plus grands et Publicis fait une offre de rachat deux ans plus tard. Alexandre s’en tire avec un pactole qui lui permet d’envisager un avenir florissant.
Entrepreneur hyperactif
Informaticien autodidacte de talent, Alexandre fait dans la foulée sa prochaine entreprise, Cybergone. Le concept est différent et permet cette fois-ci aux internautes de trouver des bons plans près de chez eux. Le site est un succès et Alexandre change le nom pour WebCity au bout d’un an.
Webcity s’impose comme une référence, mais l’éclatement de la bulle Internet et l’arrivée d’une forte concurrence poussent Alexandre à déposer le bilan de l’entreprise en 2002.
Il ne se formalise pas pour autant et repart de plus belle. Il quitte la société qui vient de se faire racheter et utilise l’argent pour racheter Winamax, une plateforme qu’il veut faire évoluer pour organiser des paris sportifs.
Le sport, les paris et la cryptomonnaie
Alexandre Dreyfus comprend vite que le domaine du jeu en ligne et des paris va exploser dans les années à venir. Il obtient la licence pour organiser des paris sportifs et intègre le poker à sa plateforme. Il ouvre un nouveau site de jeux en ligne, Chillipaylimited, avec plusieurs sites dépendants. L’affaire est là aussi un grand succès, mais les régulations freinent son essor et il doit fermer son site en 2012.
Là encore, il rebondit, et notamment avec les cryptomonnaies. Précurseur de l’internet, il comprend que l’avenir se fera avec ces monnaies virtuelles.
Après quelques échecs, il lance Socio.com en 2018, une plateforme qui permet aux supporters de s’investir dans la vie de leur équipe via des paiements par cryptomonnaie. Pour soutenir son modèle, il crée les jetons Chilliz qui offrent aux internautes la possibilité de posséder ce qu’on appelle des fan tokens de leurs clubs préférés.
Cette fois-ci, Alexandre Dreyfus semble avoir trouvé la bonne combinaison. 6 ans plus tard, Socio.com est devenu un acteur leader sur le marché des tokens sportifs.
On ne sait pas grand-chose sur la fortune d’Alexandre Dreyfus qui s’est exilé à Malte pour gérer ses affaires depuis l’étranger. Il est aussi fort probable qu’une partie de sa fortune soit établie en crypto monnaie.
Ce qui est sûr, c’est qu’Alexandre Dreyfus a toujours su suivre les tendances et avoir un pas d’avance sur ses concurrents.
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