Inauguré en 1972 sous sa forme actuelle, le Parc des Princes est le berceau du PSG depuis 1974. Cependant devant être rénovée et agrandie, et ce pour la croissance du club qui souhaiterait arrondir ses recettes mais dont les 48.000 places assises du stade ne permettent pas un tel objectif.
En effet, comme à l’instar d’autres <<Qatar-SG>> (QSG) souhaites augmenter le nombre de place. Sauf qu’il rencontre un souci majeur, la mairie de Paris refuse de vendre le Parc des Princes à QSG qui s’était proposé de le racheter afin de pouvoir entamer ses projets de rénovation.

Ainsi, pour Nasser Al-Khelaifi, le président du club, l’objectif est fixé : avoir de plus grandes places afin d’être à l’image d’autres grands comme le Santiago Bernabeu. Et la signature avec Arctos est notamment un atout en ce qui concerne son projet de stade, qu’il s’agisse du Parc des Princes rénové ou d’un autre. Pour le PSG, il est hors de question de débourser plus de 200 millions de dollars pour le rachat du club, comme l’envisage le service urbanisme qui avait arrêté le prix de 350 M€. Et surtout pas question d’engloutir 500 M€ ou plus dans les travaux pour un bien qui resterait dans les mains de la Mairie.

Finalement, à qui profitera la cause? D’un côté la Mairie qui se recevra pendant 7 ans de l’argent du PSG en cas de son départ vers d’autres cieux (le PSG qui paie déjà 1 M€ fixe par an), et de l’autre côté le PSG qui se verra être obligé une somme colossale pour la construction de son nouveau stade. Une chose est sûre, tout ceci sera émotif pour les supporteurs qui se verront obligé de se détacher de ce stade mythique du Parc des Princes.

Voici donc l’histoire de Tesla et de la façon dont elle a failli échapper à la faillite grâce à son PDG qui a su sortir des sentiers battus et a finalement trouvé une solution à 11 millions de dollars. Tout cela pour l’amélioration de Tesla qui, depuis, a continué à se développer, s’étendant sur les marchés d’Europe, du Royaume-Uni et, en somme, du monde entier.